COMMENT VA NOTRE MONDE ???

24 janvier 2012

Tantôt au bout du rouleau… souvent triste… absurde ou désespéré,
NOTRE MONDE a tenté de répondre à cette question à l’aide d’images et de rubriques décrivant la folie de l’homme, l’injustice… l’outrage à la Terre…

Et pourtant nous aimons NOTRE MONDE…
Et nous voulons lui rendre l’ESPOIR en une HUMANITÉ qui ne baisse pas les bras mais œuvre pour que LA LUMIÈRE ne s’éteigne pas !
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Notre monde en plein tourbillon !

Voilà à quoi pourrait ressembler la commande d’une pizza en 2015…

Standardiste : – Speed-Pizza, bonjour.
Client : – Bonjour, je souhaite passer une commande s’il vous plaît.

Standardiste : – Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ?
Client : – Mon Numéro d’Identification National ? Oui, un instant, voilà, c’est le 6102049998-45-54610.

Standardiste : – Je me présente…

 LIRE la SUITE …  Allo ! Speed Pizza

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INJUSTICE

Reportage

L’iPhone et l’enfant de 13 ans
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Il est possible qu’un enfant chinois de 13 ans, travaillant 16h par jour pour 0,70 dollars de l’heure, se cache dans votre magnifique iPhone ou iPad…

[LIRE la SUITE… ]

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Voir autre article paru sur ce Blog :
Révélation / Jouets de Noël made in China /

CLIC !       I C I

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Italie: des lettres de démission signées au moment de l’embauche

LIRE l’article / Clic !

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C’est de la FOLIE !

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H5N1 : des scientifiques interrompent des tests dangereux…

Comme si nous n’étions pas assez menacés, il ne manque plus que des virus mutants, manipulés dans les laboratoires… Ils n’en sont pas à leur coup d’essai, et 60 jours de réflexion c’est peu, pour décider de continuer les recherches..
[LIRE la SUITE… ]

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NUCLÉAIRE / Un rapport terrifiant

LIRE l’article / Clic !

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Encore un rapport terrifiant ! Centrale de CIVAUX
LIRE l’article de La Nouvelle République/ Clic !

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MONDIALISATION

La mondialisation par les Nuls
Voir la vidéo
http://blog.syti.net/video.php?id=460

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6 Signes qui nous avertissent
http://lesmoutonsenrages.fr/2012/01/23/6-signes-qui-nous-avertissent/

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ÉPUISEMENT des RESSOURCES

Un article publié sur le site Le Devoir :
par Louis-Gilles Francoeur

Vive la décroissance planifiée !

Depuis hier, le gratin politique de la planète veut se faire voir à Davos. Pas pour réfléchir, comme le veut la philosophie de cette initiative, mais pour des objectifs «ciblés», savamment préparés par les états-majors politiques de chaque État. Le tout dans une atmosphère détendue, avec des artistes à qui l’on coupe les subventions et menace les droits d’auteur le reste de l’année, et des philosophes dont on lira le nom sur les programmes, faute d’avoir lu leurs livres. Nos premiers ministres Harper et Charest disent carrément qu’ils y vont pour attirer des capitaux.Certainement pas pour méditer sur les impacts de leurs politiques sur les futures générations…

[ LIRE la SUITE de l’article ]

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NOURRITURE

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Sans commentaire !

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TOUS FICHéS… TOUS PUCéS

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Un article du Nouvel Observateur

Tous fichés à 15 ans / La loi votée dans l’indifférence générale

LIRE l’article / Clic !

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Un article de Georges Vigneaux

Les imbéciles ont pris le pouvoir/Vers une société sous contrôle total

LIRE l’article / Clic !

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Une puce comestible pour bien prendre ses médicaments

LIRE l’article / Clic !

Commentaire de Rolie :
Je suis choquée, qu’est-ce qu’ils vont encore inventer pour nous voler le peu de liberté qui nous reste. Les Allemands le définissent avec le terme « der gläserne Mensch » = l’homme en verre (transparent = on voit tout en travers) …. On pourra nous surveiller mieux que si nous étions dans une prison …..

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Voir d’autres points de vue :
Dans le Blog ou la Revue de Presse de Syti-net (Liens utiles)
Le défilé permanent des modules de SOS PLANETE  (Barre latérale)
Dans l’Espace Sagesse
Les Américains seront pucés dans un an/Clic !

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HUMOUR

Rien de tel que la dérision pour barrer la route à la bêtise !

Envoi de Danielle C
Excellent !!!
à dispatcher à vos amis, sans faute…

En fait, ce n’est qu’une histoire de CUL DE CHEVAL !

Question_de_largeur

Diaporama pps
Ouvrir ou télécharger

Et la blague de la Porsche Turbo, vous connaissez ?

La PORSCHE et le BANQUIER
Humour / Clic !

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NOUS AIMONS LE MONDE

ESPOIR dans les INITIATIVES

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Les LOCAVORES
Le Mouvement des Locavores / Clic !

Marinaleda

Un modèle d’auto-gestion unique en Europe

Liens :

http://au-bout-de-la-route.blogspot.com/2012/01/marinaleda-un-modele-dauto-gestion.html

http://alternatifs81.free.fr/?p=2545

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Heureusement, les initiatives positives sont nombreuses et exaltantes.
Pour initier une force de redressement, elles devront se placer dans une vision plus subtile, dans l’universel, unir le Ciel et la Terre-Mère…
Harmonie entre tous les règnes (humain, animal, végétal, minéral).
Qu’aucun être ne soit abandonné, asservi, dégradé !
C’est le BIEN COMMUN… L’écologie globale.

Voir :
La déclaration universelle des Droits de la Terre /

CLIC !     I C I

LE MOUVEMENT COLIBRI de Pierre Rabhi (Barre latérale)

http://www.colibris-lemouvement.org/

« Nous devons définir ensemble les techniques nous permettant de construire un monde meilleur. » 
Jean-Luc Henry, président de la Fondation Ékopédia

http://fr.ekopedia.org/Portail:Colibris

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LA BEAUTÉ DU MONDE

Splendides diaporamas

Une offrande à l’univers !

(Cliquez pour ouvrir ou télécharger)

Oiseaux du Paradis

Belle et Indomptable

Tombe-la-neige

NATURE MAGNIFIQUE.1

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Merci pour vos envois.

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BOISSONS NATURE /La fête sans alcool !

28 août 2010

Boire ET conduire !!!

Cette page pourrait-elle sauver des vies ???

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Des recettes anciennes, rapides à préparer même sans mixer…

C’est facile, économique, original… et délicieux. Essayez !

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SANGRIA et PUNCH sans alcool

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SANGRIA au THÉ (sans alcool)

pour 6 personnes :

1 litre de thé fort (infuser avec 2 cuillerées à soupe de thé)
100 g sucre Bio (non raffiné)
20 cubes de glace

Fruits :
3   tranches ananas au sirop
3   demi-pêches au sirop
1   orange Bio
1   pamplemousse Bio
1   citron Bio

Pelez à vif l’orange et le pamplemousse. Coupez tous les fruits Bio en morceaux – sauf le citron. Mettre tous ces morceaux de fruits dans votre pot à sangria (de préférence en terre cuite ou en verre).

Extraire le jus du citron (utiliser le zeste BIO dans une autre préparation). Ajouter le jus du citron et le sirop de la boîte d’ananas dans le pot.

Laissez macérer au moins 1 heure au réfrigérateur.

Pendant ce temps, préparez 1 litre de thé très fort, laissez infuser 10 minutes. Filtrer et laisser refroidir.
Versez le thé sur les fruits et ajoutez les cubes de glace.

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Amusant !
Servir la Sangria dans un ananas évidé sur chacune des petites tables disposées en cercle autour du buffet.

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Variante :

On peut aussi ajouter des fruits frais de saison  et des fruits secs l’hiver…

à l’essai : remplacer le thé par 1 litre de kombucha (ou moitié/moitié) ???

BOISSONS NATURE / Le KOMBUCHA / Clic !

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PUNCH CITRON RAISIN ORANGE

pour 6 personnes :

3/4 litre  Jus de raisin blanc
1/2 litre   Eau minérale non gazeuse
1 dl    Jus de citron (3 ou 4 citrons)
1 orange Bio
1 c. à soupe MIEL de très bonne qualité
Cannelle : 1 écorce de 10 cm environ
10 cubes de glace

Dans un bol à punch en porcelaine (ou à la rigueur dans un broc…), déposez le miel, délayez-le soigneusement avec le jus de citron en ajoutant le jus de raisin blanc.
Versez ensuite lentement, en délayant toujours, l’eau minérale.
Ajoutez la cannelle et enfin les cubes de glace.

Laissez macérer une demi-heure environ ; ajoutez l’orange coupée en tranches.
Couvrir et mettre au réfrigérateur.

Servir à la louche environ 25 cl dans des verres glacés.

Une tranche d’orange devra se trouver dans chaque verre.

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Pour les amateurs  :

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JUS DE TOMATE ÉPICÉ

pour 6 personnes :

Jus de tomate      :      3/4 l
Sauce anglaise     :      2 cuil. à café
Sucre en poudre  :      2 cuil. à café
Sel de céléri          :      1/2 c. c.
Eau non gazeuse  :      1/2 litre
Jus de citron         :      le jus de 2
Muscade râpée     :      1/4 cuil. à café

Dans le fond d’un pichet, mettez la sauce anglaise, le sucre, le sel de cèleri, la muscade et le jus de citron.
Délayez avec un cuillère en bois  pour obtenir un mélange homogène.
Ajoutez peu à peu le jus de citron et 8 ou 10 cubes de glace.

Couvrir le pichet et le mettre au frais jusqu’au moment de le consommer.
On peut servir ce jus pur dans des verres d’environ 25 cl ou dans des verres plus grands en l’allongeant avec de l’eau gazeuse ou non.

Pour les enfants :

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CITRONNADE

(Préparation à froid)

pour 6 personnes :

1 litre 1/4 d’eau
3 citrons BIO (non traités)
12 morceaux de sucre

Lavez les citrons, essuyez-les,  frottez les morceaux de sucre sur la peau du citron de manière à les imprégner de l’essence contenue dans le zeste. Mettez ces morceaux de sucre dans l’eau ; faîtes-les dissoudre, mettez au frais.

Au moment de servir, pressez les citrons, ajoutez le jus à l’eau.
Servez tel quel si le sirop a été tenu au frais, soit sur de la glace pilée ou sur des cubes de glace.

LAIT AU SIROP

Pour un grand verre :

Sirop  :  2 cuillerées à soupe
(on peut utiliser des sirops rouges -grenadine, fraise, framboise, cassis… / orange, ananas…/ également le sirop d’orgeat…)
Glace concassée  :  1 c. à soupe ou 2 cubes
Lait écrémé ou végétal (soja, riz…)  :  20 cl

Le sirop se délayant assez mal dans le lait, il est préférable d’utiliser un shaker (ou mixer).

Le mélange lait/sirop ne doit se faire qu’au dernier moment.

Pour une boisson plus légère, prévoir moitié eau / moitié lait.

Servez de préférence dans des verres teintés. x

+++ Voir la série « BOISSONS NATURE »/ clic !

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BOISSONS NATURE/ Le Kombucha

6 juin 2010

+++ Voir la série « BOISSONS NATURE »/ clic !
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Le Kombucha est une délicieuse boisson pétillante et énergisante, obtenue par la fermentation de thé sucré à l’aide d’une culture de micro-organismes : le fameux champignon.

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Depuis toujours, le KOMBUCHA se transmet de famille en famille.

Il est simple à cultiver chez soi.

Il se multiplie sans cesse

et offre son abondance

à  tous ceux qui le reçoivent…

à ceux qui le donnent…

à qui apprend à l’utiliser…

à le faire VIVRE  !

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C’est Marc qui  m’a fait cadeau d’une souche de KOMBUCHA.
Je voulais acquérir un peu d’expérience avant de vous faire partager ma découverte…

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Le KOMBUCHA, c’est vivant !

C’est vraiment ce que j’ai compris de prime abord. C’est pour l’honorer que j’ai ressuscité les pots en grès qui dormaient en haut du buffet, étouffant une foule de souvenirs : celui en grès de la Forêt-Noire ayant accueilli tant de préparations vitalisantes crées par les aïeuls… un autre en grès brun, cadeau des amis de la Gym… Cette première étape de « dépoussiérage » m’a préparée à accueillir tous les bienfaits de ce breuvage fascinant.

COMPOSITION

La culture du champignon Kombucha est en fait une agglomération de différentes levures (comme dans la bière) et bactéries (comme dans le yogourt) en une galette gélatineuse appelée symbiote.

Dans le thé sucré, ce champignon se comporte comme une véritable usine biochimique, digérant et transformant les glucides simples en une multitude de substances de grande valeur :

  • Plusieurs types d’enzymes et de bactéries favorables;
  • Acides organiques (acétique, lactique, gluconique, citrique, usnique, malique, butyrique, oxalique et autres) ;
  • Vitamines C, B1, B2, B3, B6, B12 et acides aminés;
  • Antioxydants et polyphénols;
  • Ainsi que moins de 0.5° d’alcool.

Par la consommation du Kombucha, des millions d’enzymes, de bactéries et de macromolécules organiques régénèrent de fond en comble la flore intestinale, stimulent le système immunitaire et équilibrent le système endocrinien. Ceci soutient et accompagne efficacement le corps dans sa capacité naturelle d’auto-guérison.

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HISTORIQUE

Le kombucha est une boisson fermentée à base de thé (thé Noir, thé Vert ou thé Wulong (Oolong)), c’est un produit 100% naturel apparu en Chine vers 220 avant JC (Dynastie Tsin). Plus tard, en 414 de notre ère, un médecin itinérant Coréen du nom de KOMBU, aurait guéri l’empereur japonais INKYO d’une affection gastrique en utilisant ce remède. A partir de ce jour au Japon on se mit à appeler cette boisson, le KOMBU CHA (qui signifie thé de Kombu) et qui est devenu par la suite, le kombucha (écrit aussi le Combucha).

Connu comme l’Élixir de Longue Vie en Chine impériale, ce breuvage s’est ensuite  popularisé en Russie et au Japon

Paracelse utilisait le champignon, qui était cultivé secrètement dans les monastères et dans l’aristocratie lettrée, surtout à l’Est de l’Europe. C’est le Kombucha qui a sauvé du cancer Soljenitsyne, comme il le raconte dans « Le Pavillon des Cancéreux ». Et le président Ronald Reagan en consommait régulièrement depuis son opération.

Aujourd’hui, en réaction aux méfaits de l’industrie agro-alimentaire, la communauté moderne redécouvre ce surprenant « Pop-Drink Vivant », comme un écho de la sagesse millénaire portant en elle un message de vie.

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BIENFAITS du KOMBUCHA

Une puissante Médecine Holistique :
Au lieu d’une guerre contre la maladie,
une tonification générale de l’organisme.

La tradition raconte que la consommation régulière de ce breuvage fut le secret de longévité, de santé, de jovialité  -et de virilité-  des peuples de l’Asie du nord-est qui le conseillaient pour :

  • Le renforcement du système immunitaire;
  • la détoxification cellulaire;
  • l’équilibre de la flore intestinale
    et donc tous les troubles digestifs (du début à la fin, passant par l’obésité et le manque d’appétit) ;
  • l’équilibre acido-basique (le kombucha alcalinise le corps) ;
  • les troubles de pression artérielle ;
  • les rhumatismes, l’arthrite  ;
  • les mycoses, principalement de candida albicans ;
  • la migraine, le stress, le surmenage, le syndrome de fatigue chronique, l’insomnie ;
  • le psoriasis, l’eczéma, les allergies, les abcès, les ulcères, la perte des cheveux ;
  • les syndromes prémenstruels et la mauvaise humeur.

En savoir + :

Rapport du Docteur Stephan R. BECKER

  • KOMBUCHA / un fortifiant naturel tiré du trésor de la tradition extrême-orientale

version française à télécharger

I C I

Nota : Pour tout traitement, il est indispensable de consulter votre thérapeute.

Conseil pour ceux qui commencent à boire du Kombucha :

Le rôle principal de cette boisson est de purifier notre corps. Au début, pour éviter une surcharge des matières drainées, boire une petite quantité de boisson  (1 verre ?) puis augmenter progressivement selon votre goût et votre tolérance… Les vertus de la boisson KOMBUCHA se révèleront par une consommation régulière (exemple 2/3 verres par jour) plutôt que par une grande quantité absorbée irrégulièrement.

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Voici donc cette fameuse recette,  facile à faire chez soi :

Kombucha

comment réussir votre thé à la Komboucha

© Günther W. Frank

1 – Recette courante du KOMBUCHA

clic sur image !

2 – Autres méthodes

Testez ces variantes et adaptez à votre goût

Recette pour préparation de 4 litres de Kombucha / Clic !

http://www.crudessence.com/fr/services/kombucha/champignon

C FAIT MAISON (ce site est recommandé sur la side-bar du Blog)

http://www.cfaitmaison.com/kombucha/kombucha-intro.html
http://www.cfaitmaison.com/kombucha/kombucha-boisson.html

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Autres utilisations :

Peau, cheveux, cosmétiques :

Le KOMBUCHA est excellent en usage externe, comme pansement sur les blessures, pour éliminer des défauts épidermiques, comme lotion pour les cheveux (laquante).

Plutôt que de jeter la partie inférieure, il est  recommandé de la presser pour en extraire un concentré apte à entrer dans la composition de vos créations multi-usages !

En savoir + :

Laboratoire SYMBIOTEC -Dr Sergi Rollan

  • LE KOMBUCHA et la COSMETIQUE

à télécharger

I C I

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  • Le champignon peut ensuite être utilisé comme masque vivant :

Percer des orifices pour les yeux, le nez, et y fixer une bande élastique. Le porter une heure environ, face brune contre la peau, avant de le remettre en culture. On peut aussi passer le champignon au mixer pour en faire une crème dermique très efficace contre les rides.

  • Mélangé à l’eau d’arrosage, il stimule la croissance des plantes et les protège contre les attaques parasitaires.

Le champignon peut être congelé. Il lui faut plusieurs jours pour se remettre en activité ensuite. Il peut aussi être séché (à 30 °C).

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REFERENCES

Le Docteur Günther W.Frank est reconnu pour ses recherches et ses écrits sur ce « champignon » fabuleux -qui n’est pas un champignon !- et sur la boisson qui porte son nom.  Nous vous invitons à compulser son site pour en savoir plus :

clic sur image !

© Günther W. Frank

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RAPPORTS SCIENTIFIQUES

Une étude intéressante de Russie /Clic !

Rapport du Docteur Stephan R. BECKER

version française à télécharger I C I

Laboratoire SYMBIOTEC / Dr Sergi Rollan

à télécharger I C I

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L I V R E S

Kombucha. Le champignon miraculeux
Harald-W Tietze

Ce livre pratique décrit l’histoire millénaire de l’utilisation du Kombucha, comment s’en servir, les expériences médicales qui ont été faites, les anecdotes évidentes qui montrent ses avantages largement reconnus et les nombreuses recettes de boissons attrayantes que l’on peut réaliser avec cette extraordinaire culture.

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S I T E S

Visitez ces sites pour explorer d’autres secrets du KOMBUCHA !

  • Valérie Cupillard aussi s’y est mise au KOMBUCHA… Les dialogues avec ses lecteurs permettent tout naturellement l’installation d’un forum très intéressant sur ce sujet…

http://www.biogourmand.info/index.php/2007/08/01/82-kombucha-comboucha

  • ESPRIT THÉ  nous offre des explications claires résumant les  rapports de 2 chercheurs / à télécharger

http://www.esprithe.com/Sante/le-kombucha-ou-combucha.html

Le site de référence : Günther W. FRANK

  • Astuce :

Pour varier à l’infini la saveur de votre Kombucha, ajoutez à votre thé habituel une petite quantité d’un thé original, plus raffiné ou d’une tisane parfumée selon votre envie du jour !

  • Ma dernière trouvaille :

Après la satisfaction d’avoir bien mis en place la prochaine cuvée de Kombucha – quand les symbiotes vivantes reposent au sein du liquide doré, dans le secret ventru des jattes de grès ou de verre- je m’autorise une récompense finale :

Dans la casserole émaillée, je laisse les feuilles de thé et aromates ayant servi à la préparation et je laisse infuser à nouveau en versant un peu d’eau chaude ou en décoction. Pour ne pas froisser nos amis so british, je ne qualifierai pas ce breuvage de thé, bien sûr, mais c’est très agréable au goût et économique ! Selon la météo, je conserve parfois ce remake au frigo pour étancher ma soif de fraicheur le lendemain.

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BOISSONS NATURE/La sève de bouleau

28 avril 2010

Extraits : Magazine « Soleil Levant »N° 172


Dans notre vallée, ce printemps fut consacré à une cure de sève de bouleau. Wouah quel tonus !
C’est notre ami MARC qui nous a appris à la récolter. Dans nos montagnes, la forêt est généreuse et l’écorce  des bouleaux éclaire les parois rocheuses de sa blancheur nacrée.

La Sève qui monte en abondance au printemps est un véritable élixir. C’est un liquide très clair, presque incolore, légèrement sucré. Elle  doit être consommée fraîche, dès que possible après sa récolte (méthode ancestrale). Sinon la Sève évolue, comme tout liquide naturel, vers la fermentation.

Merci Bouleau !

Le bouleau est vraiment l’arbre fondateur de la forêt des régions boréales et tempérées froides. Durant les hivers froids, enneigés, ce qui est le cas cette année, il concentre dans sa sève toutes les qualités vitales les plus fondamentales pour notre squelette, nos ligaments, nos muscles, nos cartilages, notre peau, nos cheveux.

Plus l’hiver est froid et long, plus la sève est concentrée : silicium organique, magnésium, calcium, oligo-éléments, enzymes, acides aminés.
Voilà pourquoi il est si important de saisir le moment exact où la sève de bouleau jaillit, abondante, telle une fontaine, comme un cadeau de la terre et du soleil !

Récolter  la sève de bouleau

La récolte de sève de bouleau fraîche ne nécessite ni abattage, ni sacrifice des arbres. Tout se passe comme si la nature avait prévu ce cadeau régénérateur du printemps. Comme si la forêt qui exulte après le sommeil de l’hiver voulait absolument nous faire partager le fantastique renouveau cellulaire qui l’accompagne.

La sève de bouleau se récolte à la fin de l’hiver ou aux prémices du printemps avant la pousse des bourgeons. Il suffit de pratiquer un trou dans l’écorce, d’enfoncer un tube et de le relier à une bouteille, la sève coulera alors d’elle-même dans la bouteille par le biais du tube. Aussi, le tube doit être bordé de terre à sa sortie afin de protéger le bois du gel, le bois étant très sensible au froid les premiers jours du printemps. D’une manière plus naturelle, nous pouvons utiliser des tubes de végétaux en roseau ou autres plantes semblables, et un récipient en écorce de bouleau relié aux fibres de tilleul et dont les trous et les jours ont été colmatés à la résine.

Avant cela, nous adressons une petite prière à l’arbre « je te prie de pardonner mon geste, mais tes ressources me seront utiles. Merci ! ».

La sève de bouleau est très fluide, transparente et sucrée, elle est pleine de vitamines et ressource le corps en lui apportant les éléments naturels dont il a besoin.

« La sève de bouleau est l’espoir, le bonheur et la panacée
des habitants riches ou pauvres, grands et petits, serfs ou seigneurs. « 

Citation du chirurgien Percy


HISTORIQUE

Pour des raisons encore mal connues, la terre avait basculé d’un quart de tour, installant l’équateur à la place des pôles.
Les habitants des régions les plus chaudes virent très vite disparaître les arbres fruitiers de quarante mètres de hauteur, ensevelis, remplacés rapidement par la glace, la toundra, la steppe, suivie de forêts de bouleaux.
Il fallut se protéger du froid et se mettre à tuer des animaux pour se nourrir. Le corps habitué, aux végétaux commença à s’acidifier et s’encrasser…

Les plus résistants de ces humains se rapprochèrent des arbres, et dès le printemps, essayèrent d’en sucer les branches, à la recherche de quelque nourriture végétale un peu juteuse. Et rapidement, ils découvrirent qu’au printemps, la sève jaillissait comme une fontaine. Et que l’eau de cette fontaine était douce, légèrement sucrée. Que tous pouvaient en boire : les bébés, les enfants, les adultes, les vieillards, tout le monde se sentait plus fort, plus tonique, les douleurs disparaissaient chez tous ceux qui buvaient la sève de bouleau, unique aliment végétal avant l’apparition des premières herbes sauvages et des fruits plus tardifs.

Voilà exactement d’où vient la cure de sève de bouleau, de la nécessité de s’alimenter quand il n’y avait rien.
Depuis ces temps très reculés, l’homme a gardé le souvenir des bienfaits de cette période de l’année où la nourriture était rare, et où la sève de bouleau était capable de nourrir parfaitement tout le monde avec autant d’intérêt que le lait maternel pour les bébés.

Revitalisation/Minéralisation/Epuration

La Sève de Bouleau pure fraîche et vivante, contient des éléments vitaux qui vont permettre à notre corps de se purifier et de se régénérer. En effet, cette Sève naturelle possède de nombreuses propriétés connues depuis longtemps :

Elle est riche en calcium, magnésium, silicium, sodium et potassium.
Elle contient :
→ des oligo-éléments (cuivre, fer, manganèse, zinc…), des mucilages, des flavonoïdes, dix-sept acides aminés dont l’acide glutamique, si vivifiant et dynamisant !
→ des antioxydants permettant une meilleure utilisation de l’oxygène par nos cellules.
→ des sucres sous forme de fructose de 0.5 à 0.2 %
et de nombreux autres éléments.

La sève de bouleau reminéralise l’organisme tout en drainant le foie et les reins.

Aussi cette cure de Sève de Bouleau représente la cure de printemps idéale car elle permet d’éliminer les toxines accumulées pendant l’hiver (acide urique, cholestérol…). C’est un remède précieux pour les affections rhumatismales, les douleurs articulaires et pour les problèmes de peau. Également efficace pour éliminer la cellulite et les œdèmes. La Sève de Bouleau, véritable élixir de printemps est capable de nous nettoyer en profondeur et nous donne un coup de jeunesse viscérale.

Suivre les saisons

Durant des millénaires, l’homme n’a pas eu d’autre choix que de se nourrir au fil des saisons.
La nature produisait, il n’y avait ni conserves, ni séchage (à cause de l’humidité), ni confitures (pas de sucre !), ni compotes (pas de bocaux !) ni congélation ! Voilà comment naissent les cures.

Plus tard, on se souvient de leurs bienfaits, on essaie de les transmettre. Ce qui est sûr, c’est qu’elles font le plus grand bien ! Et qu’il serait bien dommage de ne pas en profiter, car elles restent un des seuls liens inaltérés de notre relation directe à la nature et aux saisons.

Faisons tinter nos verres à cette précieuse et délicieuse boisson, légèrement pétillante : la sève de bouleau !

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Ne pas confondre « la sève de bouleau » et la cure de « feuilles de bouleau » :

Infusion de bouleau

Faire sécher les feuilles à plat sur une grille ou en bouquets suspendus à l’abri de la lumière
Laisser infuser les feuilles séchées 10 minutes dans de l’eau bouillante
L’infusion de feuilles de bouleau est diurétique

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Références :

http://odeurdelaterre.centerblog.net/6452118-boire-la-seve-de-bouleau-

La cure de Sève de Bouleau Yvonne Clément
http://www.soleil-levant.org/

La Méthode France Guillain
Editions du Rocher 2009

http://www.vegetal-water.com

+++ Voir la série « BOISSONS NATURE »/ clic !

La sève de bouleau
Le KOMBUCHA
La Fête sans alcool

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CUISINE BIO/traîner des casseroles !

12 février 2010

Source : Quelle santé
Passez à la casserole Ecolo par Emmanuelle Vibert

Mijoter de bons petits plats en les gorgeant de substances toxiques ? C’est bien dommage, quand on prend soin de choisir des aliments bio et sains, de tout gâcher en se trompant sur le choix des casseroles et des poêles. Pour cuisiner sans risque, voici les matériaux qu’on préfère et ceux qui ne doivent pas approcher nos fourneaux.

Vous adorez les casseroles héritées de votre grand-mère ? La poêle qui vous garantit des crêpes réussies à tous les coups, la cocotte à fond épais où mitonnent les plats qui ont fait votre réputation de cordon bleu ?… Ce n’est pas une raison pour éviter de se poser les questions qui fâchent. Parmi les matériaux qui composent nos batteries de cuisine, tous ne se valent pas. Petit tour d’horizon.

Ne traînez plus vos vieilles casseroles

Quand Dupont de Nemours dépose en 1945 la marque Teflon, débute en cuisine l’ère de la super-glisse. La molécule développée par la société américaine s’appelle le polytétrafluoréthylène (PTFE) et, pour la fabriquer, il faut de l’acide perfluorooctanoïque, APFO (PFOA en anglais). Les propriétés antiadhésives du PTFE permettent de cuire des œufs au plat sans matière grasse.

Le Teflon envahit les cuisines à partir des années 1960. Mais très vite, le doute s’installe sur son innocuité. Environmental Working Group (EWG) est la première ONG à avoir suivi le dossier. Sous sa pression, Dupont finira par admettre, après avoir caché les faits pendant vingt ans, que ceux de ses employés qui travaillent sur les poêles antiadhésives ont des problèmes de santé. Grâce à EWG encore, Dupont déboursera plus de 100 millions de dollars d’amende et de dommages et intérêts pour avoir pollué les cours d’eau voisins de ses usines.

Au fond, qu’est-ce qu’on leur reproche à ces molécules ?

Selon EWG, une poêle en Teflon chauffée à blanc peut tuer des canaris… Dupont affirme que son Teflon dégage des particules toxiques uniquement à partir de 240 °C et de façon significative seulement à partir de 340 °C. Et la société de marteler que ces températures ne sont jamais atteintes dans des conditions normales de cuisson. Vraiment ? Des tests menés en 2003 par EWG montrent qu’une poêle antiadhésive chauffée à blanc atteint 380 °C en 3 à 5 minutes ! Ses émanations peuvent alors tuer un oiseau de petite taille présent dans la pièce

Quant au PFOA, il est accusé de s’accumuler dans l’environnement et dans l’organisme humain. Dans son étude de 2005, « Toxiques en héritage », Greenpeace menait des analyses sur le sang maternel (de 42 femmes) et le cordon ombilical (de 27 nouveau-nés). L’ONG avait alors trouvé du PFOA dans tous les échantillons de sang maternel sauf un et dans la moitié des échantillons de sang ombilical. Certaines études montrent qu’il provoque des cancers chez les rats. Et chez l’homme ? Dans son avis du 13 mars 2009, l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) estime que sa présence dans nos cuisines représente « un risque négligeable » pour la santé humaine, compte tenu de l’exposition quotidienne relativement faible à ces revêtements antiadhésifs. Mais, Outre-Atlantique, on voit les choses sous un autre angle. Pour l’Agence américaine de l’environnement (Environment Protection Agency, EPA), le PFOA est un « cancérigène probable ». Elle a d’ailleurs négocié avec huit majors de l’industrie de la casserole américaine l’élimination du PFOA d’ici à 2015.

Et si on en faisait autant ? C’est ce que préconise le Réseau environnement santé. Il a fait du PFOA son nouveau cheval de bataille, après le bisphénol A dans les plastiques alimentaires et les phtalates. Le réseau cite à ce sujet une étude danoise récente qui montre que le PFOA est un perturbateur endocrinien qui diminue la concentration de spermatozoïdes chez l’homme en lui faisant courir des risques d’infertilité.

Alors on les jette ces poêles antiadhésives, non ?

L’aluminium, j’ai un doute

Les études contradictoires se succèdent depuis plusieurs décennies, et le doute persiste : on soupçonne l’excès d’aluminium dans le corps d’avoir une influence sur le développement de la maladie d’Alzheimer. On conseille donc de ne l’utiliser en cuisine qu’avec précaution. Et surtout de ne pas le mettre en contact avec des aliments acides qui l’attaquent et en absorbent au passage. À oublier, donc, les papillotes poisson-citron-tomates en papier d’alu…

L’émail oui, mais…

Cette matière proche du verre recouvre certaines casseroles métalliques pour les rendre plus glissantes. Pas de problème à condition de les chouchouter. L’émail n’aime pas les chocs, la surchauffe, les rayures… S’il est fissuré, la casserole est bonne à jeter, car elle va libérer des sels de plomb utilisés pour colorer l’émail. En outre, pour ne pas vous tromper sur la qualité, choisissez des ustensiles émaillés aux normes NF.

Le cuivre, mais pas le vert-de-gris

Il est impeccable pour réussir les confitures et sans danger pour la santé… à condition de faire la chasse au vert-de-gris en astiquant vos bassines (avec du citron par exemple). L’oxyde verdâtre qui se dépose au fil du temps est un véritable poison.

Le silicone ? À voir…

Cette matière souple qui permet de cuire les gâteaux sans matière grasse est encore trop jeune pour qu’on connaisse vraiment les conséquences sanitaires de son usage. En théorie, les moules en silicone doivent supporter des températures jusqu’à 280 °C. Mais, selon la DGCCRF, beaucoup ne résistent pas au-delà de 240 °C, libérant des molécules nocives dans les aliments. Choisissez ceux qui affichent des hautes températures de résistance et glissez-les dans un four à chaleur mesurée.

L’inox, c’est pas de l’intox

Cet alliage de fer, chrome et nickel ne présente aucun risque sanitaire. Il diffuse bien la chaleur, surtout si les fonds sont épais, et attache peu. Son seul défaut ? L’exploitation minière du nickel et du chrome est particulièrement dommageable pour l’environnement. Raison de plus pour garder vos poêles en inox le plus longtemps possible.

Retour à la terre

Une valeur sûre, millénaire en cuisine, et qui revient en faveur. Ne l’achetez pas à l’aveuglette, en France ou sur des marchés à l’étranger. Mais assurez-vous qu’elle n’est pas recouverte de vernis ou d’émail au plomb. Si elle porte la norme NF, c’est mieux.

Et pourquoi pas du Pyrex ?

C’est un verre qui résiste à des températures élevées, bon marché, sans risque pour la santé, surtout s’il n’est pas coloré.

À fond pour la fonte

Les amateurs de cuisine raffolent de cet alliage de fer et de carbone. Ils savent que, pour éviter que les aliments attachent, il faut caresser sa cocotte en fonte après chaque utilisation avec un peu d’huile végétale, ou ne pas trop la récurer pour lui laisser du gras qui sera absorbé par les pores du métal. Seule précaution d’usage : ne pas utiliser la fonte pour stocker les aliments, sinon elle s’oxyde.

Actu : On reparle du Téflon…

BLOG « MEY*RO*LIANe publie 2 articles sur ce sujet :

TEFLON/Retrait des poêles par le chimiste Dupont/Clic !

CUISINE BIO/traîner des casseroles !/clic !

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Histoire chimique d’une tarte aux cerises d’un supermarché

14 novembre 2009

Texte de Claude Bourguignon, ingénieur agronome et microbiologiste des  sols, tiré de son excellent livre « Le sol, la terre et les champs« .

1/Histoire de la pâte

001 La farine :

Les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide avant semis. Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de pesticides selon les années, un traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d’éviter la verse et une dose importante d’engrais : 240kg d’azote, 100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à l’hectare. Dans le silo, après récolte les grains sont fumigés au tetrachlorure de carbone et au bisulfide  de carbone puis arrosés au chlopyriphosmethyl. Pour la mouture, la farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.

001La poudre levante :

Elle est traitée au silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium.

001Les corps gras :

Ils reçoivent un antioxydant comme l’hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.

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2/ Histoire de la crème

001Les œufs

Ils proviennent d’un élevage industriel où les poules sont nourries aux granulés contenant des antioxydants (E300 à E311), des arômes, des émulsifiants comme l’alginate de calcium, des conservateurs comme la capsanthéine, des agents liants comme lelignosulfate et enfin des appétants pour qu’elles puissent avaler tout ça comme le glutamate de sodium. Elles reçoivent en plus des antibiotiques et en particulier des anticoccidiens.

Les œufs avant séchage reçoivent en plus des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du blanc.

001Le lait :

Il provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation riche en produits chimiques : des antibiotiques comme le flavophospholipol (E712) ou le monensinsodium (E717), des antioxydants comme l’ascorbate de sodium (E301), l’alpha-tocophérol de synthèse (E307), le buthyl-hydrox-toluène (E321), ou l’ethoxyquine (E324), des émulsifiants comme l’alginate de propyléne-glycol (E405) ou le polyéthyléne glycol (E496, des conservateurs comme l’acide acétique, l’acide tartrique (E334), l’acide propionique (E280) et ses dérivés (E281 à E284), des composés azotés chimiques comme l’urée (E801) ou le diurédo-isobutane (E803),des agents liants comme le stéarate de soduim, des colorants comme E131

ou E142 et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout cela comme le glutamate de sodium.

001Les huiles :

Elles ont été extraites par des solvants comme l’acétone puis raffinées par action de l’acide sulfurique, puis lavage à chaud, neutralisées à la lessive de soude, décolorées au bioxyde de chlore ou au bichromate de potassium et déodorisées à 160° C avec du cholure de zinc. Enfin, elles ont été recolorées à la curcumine.

001La crème :

Une fois obtenue, elle reçoit des arômes et des stabilisants comme l’acide alginique (E400).

3/ Histoire des cerises

Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre dix et quarante traitements de pesticides selon les années.

Les cerises sont décolorées à l’anhydride sulfureux et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine. Elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium et à la sortie elles reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202).

Elles sont enfin enduites d’un sucre qui provient de betteraves qui, comme les blés, ont reçu leur dose d’engrais et de pesticides. Le sucre extrait par défécation à la chaux et à l’anhydride sulfureux puis décoloré au sulfoxylate de sodium, puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique. Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.

Bon appétit !

Voir la vidéo : ALERTE à BABYLONE / Clic !

Site de Claude BOURGUIGNON


On pourrait se passer de tarte aux cerises…

Hélas !   Ces ingrédients, issus de l’industrie agro-alimentaire , sont la base de toute la nourriture non bio

Le PAIN, par exemple :

Source : http://www.opain.com

Pourquoi manger du PAIN?
Pourquoi apprendre à le faire?

Que peut-il bien nous apporter de plus ?


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Selon les Nutritionnistes :

Le PAIN est  le seul produit pratiquement parfait pour l’alimentation humaine au point qu’un être humain pourrait vivre de cette unique nourriture.

100 grammes de BON PAIN * apportent : 55 grammes de glucides, 0.70 gramme de lipides, 7.5 grammes de protides, des Sels Minéraux sous forme de Phosphate, de Magnésium, de Potassium… des vitamines, notamment celles du groupe B.

Glucides :

Ceux du Pain,  à absorption lente sont beaucoup mieux utilisés que ceux apportés par des aliments riches en sucres purs et souvent associés à des graisses.

De ce fait, le PAIN est un Aliment énergétique de choix.
La présence de cellulose concourt au bon transit intestinal et sa faible teneur en lipides ne l’exclut d’aucune alimentation, à l’exception de celle des personnes à qui le gluten est interdit.

Un accroissement de la consommation de Pain compenserait heureusement la tendance actuelle à un enrichissement excessif de l’alimentation en lipides, au détriment des glucides.

* Il est évident – mais peut-être pas pour tout le monde- que nous parlons ici d’un PAIN fait avec des Farines issues de l’Agriculture Biologique, un sel marin naturel, une eau de source – en utilisant des méthodes naturelles.

Cependant, dans le souci de vous donner une information
plus complète,
il pourrait être important de vous rappeler de quoi est fait

LE PAIN-BAGUETTE
que la majorité des consommateurs mangent en
s’approvisionnant dans les super marchés, leur station service,
ou chez les boulangers du coin de leur rue,
utilisant les ingrédients que je nommerais de tout venant,

c’est à dire Non Bio:

(on a déjà entendu cela quelque part !)

La Farine
Les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide avant semis.
Pendant sa culture, le blé a reçu de deux à six traitements de pesticides selon les années,
un traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d’éviter la verse
et une dose importante d’engrais : 240kg d’azote, 100kg de phosphore et 100kg de potassium à l’hectare.
Dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfite de carbone puis arrosés au chlopyriphosméthyl.
Pour la mouture, ma farine reçoit du chlorure de notrosytel.
Puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.

La Poudre Levante
Elle est traitée au silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium.

L’Eau
Traitée à un point qu’il n’est même plus possible de la reconnaître.
Elle détruit tout ce qui est vivant, le bon comme le reste.
Ce qui oblige les chimistes à créer des adjuvants toujours plus puissants
pour rendre panifiable une farine qui ne l’est plus depuis longtemps.

Voilà ce que contient en substance
la très « chère » Baguette- Poison-Label France.

Le Panetier


*LE PAIN BLANC, ENNEMI DE NOS CELLULES

Selon l’enquête INCA (Individuelle et nationale sur les consommations alimentaires), réalisée en 1999,  les hommes consomment en moyenne 153g/jour de pain et biscottes et les femmes 97g/jour. Quotidiennement, le pain blanc ainsi que d’autres produits panifiés fabriqués à partir de farines raffinées, comme les pizzas, quiches, tartes mais aussi viennoiseries et biscuits, représentent une source importante d’énergie pour l’organisme, principalement sous forme de glucides.

Mais derrière ces glucides, se cache souvent un index glycémique (IG) très élevé.
L’IG d’un aliment permet d’évaluer la rapidité de passage du glucose dans le sang.
Cet index est calculé sur la base de l’ingestion de 100g de sucre : IG =100.

Plus l’IG d’un aliment est élevé, plus il fait augmenter rapidement et de manière brutale la glycémie sanguine.

Ce processus, à long terme, contribue à fatiguer le pancréas qui doit sécréter des quantités plus importantes d’insuline pour réguler le taux de sucre sanguin.

Des études ont montré que les personnes qui mangent une grande quantité d’aliments dont l’IG est élevé ont plus de risque de devenir obèses – mais aussi de souffrir de Diabète de type 2 et de Maladies Cardiovasculaires.

La baguette a un index glycémique élevé (95/100)

Les aliments qui ont un IG élevé sont typiquement les aliments sucrés ( barres chocolatées, sucreries, bonbons ), mais aussi les aliments à base de céréales raffinées (corn flakes, viennoiseries, biscuits, pizzas, etc) –  et donc le PAIN BLANC.

Parmi toutes les sortes de pain qui existent, la baguette que les Français consomment quotidiennement est celui qui a l’IG le plus élevé (95).

Le PAIN BIO COMPLET  ou  1/2 complet (Farine type 80),
farine multi-céréales -et particulièrement le pain de seigle-
ont un index glycémique plus faible qui permet
de mieux contrôler le sucre sanguin.

Conclusion :

Mieux vaut consommer régulièrement ce type de pain dans l’objectif de rester en bonne santé.
En effet, les études montrent que les aliments à base de céréales complètes protègent des maladies chroniques.

Source : http://www.opain.com

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003



Yaourts… savoir ce que l’on mange !

1 novembre 2009

Conseil :

  • Pour conserver une flore intestinale équilibrée, nécessaire pour notre système immunitaire, il vaut mieux privilégier les yaourts nature BIO (acheté en magasin Bio)
  • Pour ensemencer nos fabrications de Yaourts maison*, c’est également un yaourt nature BIO qui doit être utilisé ou un ferment de qualité. (voir lien en fin d’article)

Savoir ce que l’on mange :

 

GÉLATINE PORCINE  :

000151Voir le film :

Les industriels nous mentent / Clic !


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C’est un additif (CODE E 441) utilisé dans de nombreux « aliments » industriels  :  surtout les desserts laitiers, les « allégés »…  les gélifiés… les bonbons et confiserie…  biscuiterie… plats cuisinés…  etc…

Pour les produits non bio, surveillez les étiquettes :

  • gélatine (non précisé)   c’est de la gélatine de porc – ou parfois poisson
  • sinon il est écrit « gélatine végétale »

info

YAOURT au COCHON

Déjà en 2002, une polémique au sujet de la gélatine de  PORC dans le yaourt  :

6 novembre 2002. Nos députés vont devoir s’intéresser au problème posé par le yaourt au cochon, ou plus exactement à la gélatine de porc utilisée par les géants des produits laitiers… [..]

Lire la suite  : http://terresacree.org/yaourt.htm

Pour contourner la législation sur le Yaourt, il suffit d’utiliser le terme « spécialité laitière », lancer une campagne de promotion dans les médias après avoir choisi un nom accrocheur pour la santé (manipulation ???) … et aucune précision sur l’étiquette !

Du cochon dans les yaourts
Auteur : Citronnelle (citronnelle AT hoaxteam.com) – Date : 26 janvier 2005

Selon la législation en vigueur en France, peut prétendre à la dénomination « yaourt » ou « yoghourt » un lait fermenté à l’aide de l’un ou l’autre (ou les deux) ferment : streptococcus thermophiluset lactobacillus bulgaricus, sans traitement thermique ultérieur.
Sont autorisées les adjonctions de : sucre, fruits, arômes naturels, poudre de lait, céréales à condition que ces ajouts ne dépassent pas 30% de la masse totale du produit fini.
Tout autre ingrédient est interdit si on veut conserver la dénomination. Donc si vous voyez le mot sur l’emballage, pas de problème.

Tous les autres produits sont des « spécialités laitières » et ne relèvent d’aucune législation précise. Donc, il est parfaitement légal d’y adjoindre de la gélatine, même si concernant l’étiquetage, le flou est de rigueur (pas de législation non plus).

Les industries agro pourront toujours contourner le problème en adjoignant de la gélose de poisson  (Haribo avait tenté l’expérience pour ses bonbons, mais la consistance obtenue n’était pas satisfaisante),  ou de l’agar (polysaccharide végétal, extrait d’algues).

info

PORC de YAOURT

Envoi de Claudine

Source : Le Canard enchaîné N°4633 du 12 août 2009

DANONErog1

Voici le texte, plus lisible :

Engraissez vos enfants comme des porcs !

C’est un pavé dans le pot de yaourt que lance un chercheur français dans la prestigieuse revue scientifique « Nature » de septembre 2009. Pour Didier Raoult, patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux probiotiques que l’on nous fait avaler depuis près de vingt ans auraient leur part de responsabilité dans l’épidémie d’obésité qui frappe les enfants.

Les probiotiques, vous savez, ce sont ces bactéries censées booster nos défenses immunitaires que Danone ajoute à la pelle dans certains yaourts.

On en trouve plus d’un milliard par pot d’Activia ou d’Actimel. Le hic est que « ces bonnes bactéries actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis belle lurette dans les élevages industriels comme activateurs de croissance. En clair, pour faire grossir à vue d’œil cochons et poulets. Un porc gavé de probiotiques, c’est au moins 10 % de plus sur la balance. Apparemment, ça marche aussi fort chez les humains.

Et Didier Raoult de rappeler cette étude plutôt flippante. En début d’année, des chercheurs ont comparé la flore intestinale des obèses et des non-obèses. Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de probiotiques, ceux qu’on trouve justement dans les yaourts « santé ». « On a autorisé pour l’alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l’effet sur les enfants », s’étonne le professeur.

Et celui-ci de réclamer dare-dare des études pour connaître le rôle précis de tous ces produits lactés dans l’épidémie d’obésité infantile. D’autant que les enfants ont droit aux mêmes concentrations de probiotiques dans leurs yaourts que les cochons et poulets. Faudrait peut-être que Danone cesse de tourner autour du pot…

lecanardenchaine.fr N°4633 du 12 août 2009

Qui est Didier RAOULT ?
http://ifr48.timone.univ-mrs.fr/static/Raoult/index.html 

Ligne cochons

Et…conclusion inévitable de notre article :


* COMMENT FABRIQUER ses YAOURTS MAISON

Avec ou sans yaourtière

http://www.bibio.fr/2009/04/faire-ses-yaourts-maison/

http://www.cfaitmaison.com/yaourt/ssy.html

* CREMES DESSERT MAISON :

Utiliser des ingrédients naturels (en magasin Bio) : Tofu soyeux, Agar-Agar, Arrow-roat, kuzu… Farines ou crèmes de céréales, etc…

  • Exemple de recettes très simples sans oeufs :

http://www.bibio.fr/2009/06/cremes-au-chocolat-faciles/

http://www.bibio.fr/2009/06/creme-chocolat-tofu-soyeux/

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Le non-sens de la certification HVE

7 octobre 2009

Ajout du 13/04/2010

Bio Cohérence, le nouveau label qui peut tout changer

Clic ! sur ce lien (Source l’Express)

Ce nouveau label, plus exigeant, plus responsable… semble répondre aux doutes exprimés dans l’article ci-dessous.
meyrosa
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7/10/2009

theatreimpro

Dans le cadre de la Loi Grenelle II, une nouvelle mascarade se prépare, telle une vacherie de confiserie sournoisement emballée « douceur pour l’environnement » :

Le label HVE (HAUTE VALEUR ENVIRONNEMENTALE)

= HAUTE VALEUR CONTRE l’ENVIRONNEMENT

Lire cet article :

Après les députés, les sénateurs s’apprêtent à instaurer avec la loi Grenelle II une nouvelle certification des exploitations agricoles. Ce label « Haute Valeur Environnementale » (HVE), pensé loin des réalités quotidiennes de terrain, ne reflètera pas la qualité des démarches véritablement respectueuses de l’environnement.
Avec trois niveaux de contraintes différents, dont les deux premiers se contentent de qualifier le respect de la réglementation générale, le nouveau label Haute Valeur Environnementale va avant tout ajouter de la confusion dans l’esprit des consommateurs. Cette confusion ne vise selon nous qu’à affaiblir l’agriculture biologique, plébiscitée par les consommateurs. [LIRE LA SUITE/Clic !]

http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article11795

Parmi la somme d’incohérences citées dans ce court exposé,  j’ai été particulièrement sensible à cet extrait :

Ainsi, un petit maraîcher de montagne qui pratique l’agriculture biologique sur les seules terres de fond de vallée disponibles en bord de rivière se verra exclu au prétexte qu’il lui faut y cultiver des bandes enherbées et y conserver des friches baptisées « infrastructures écologiques ». A contrario, un gros exploitant utilisant des pesticides et des engrais polluants se verra qualifié HVE au prétexte qu’il dispose d’assez de terres pour ne pas en épandre sur les quelques mètres qui bordent la rivière, et pour louer ses bois inexploités à des sociétés de chasse.

EAU BLOG ROUGEAssociation « À LA SOURCE »
http://alasource.wordpress.com/

soleilJe milite dans une Asso (orientée « environnement, consom’action, alternatif…) œuvrant dans un fond de haute vallée ariégeoise. Aucun souci pour nos paniers-légumes, notre maraîcher est au top du Bio. Mais à l’heure de sélectionner d’autres produits, nous sommes tiraillés entre :  le tout-Bio, le local, le « c’est-comme-du-Bio », etc…

Pour ma part -et j’espère ne pas devenir extrémiste !– je ne prêche pas en faveur d’un producteur juxtaposant une parcelle Bio tout à côté d’une non-bio (!)  Allons-voir ce qu’il a dans le ventre, ce quidam !

Label ou pas Label ?

→ Le montant élevé des cotisations bride le budget de nos petits producteurs locaux, nous le savons bien. Ceux qui respectent la nature en adaptant leurs techniques à leur lieu de vie (traction animale, autarcie…) méritent notre confiance et ce n’est pas ce nouveau certificat-scélérat-couillon qui va ébranler leur choix.

→ Hasardons plutôt un coup d’œil dans les rayons « BIO » (???) des hyper-marchés. Quel sera LEUR choix, à votre avis ?

Cette certification les arrange TOUS  (producteurs soi-disant Bio – centrale d’achat – actionnaires…). Une part de plus en plus importante de leur clientèle – soucieuse de qualité-  pourrait leur échapper.

Merci Grenelle !
Un simple tour de prestidigitateur : secouer le chiffon rouge d’un « imitation Bio » nouveau label, tranquilliser  le consom’acteur qui semble s’éveiller derrière le docile caddiman…
et surtout continuer à rentabiliser les scandaleuses pratiques de l’agro-alimentaire.

CHOIX reste le mot-clé.  Quel sera le nôtre ?

meyrosa

ligne.arbres



POULETS(morts)Sauce chinoise

3 octobre 2009

Lire le reste de cette entrée »


Cot..cot.. 3,2,1,0 !

20 septembre 2009

CLAUDINE
« C’est plus prudent de regarder les inscriptions de plus près »

POULES & OEUFS

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(source SOS Biodiversité)
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Les méthodes d’élevage modernes sont souvent scandaleusement irrespectueuses des animaux. C’est notamment vrai pour les poules pondeuses, élevées à 18 par m2 dans de véritables usines à œufs,  totalement automatisées.

Comment choisir des œufs “éthiques” et de qualité ?
Suivez les codes…

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oeuf

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Si, de manière générale l’absence de transparence empêche le consommateur citoyen de faire ces choix en pleine connaissance (sauf en Bio), dans le cas des œufs la législation oblige les producteurs à une information sur les conditions d’élevage des poules pondeuses. Mais encore faut-il s’y retrouver… Le marketing et la publicité use – et abuse- d’images champêtres et de basses-cours,  sans  que cela corresponde à la réalité de l’élevage.

Comment s’y retrouver ?

C’est très simple, il suffit de se fier aux petits chiffres imprimés en rouge sur chaque œuf.

Explication :

Le mode d’élevage correspond au premier chiffre. Il existe quatre catégories :

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poulesab

O – BIO
Qu’elles sont heureuses, ces poulettes, de pondre pour nous !

0 : Œuf de poule élevée en plein air, selon les normes de agriculture biologique. : un accès à un parcours herbeux à l’air libre de 2,5 m2 minimum par poule, une alimentation à base de céréales et oléo-protéagineux biologiques.

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poules_plein_air1 – Plein air

1 : Œuf de poule élevée en plein air avec un accès à un parcours à l’air libre de 2,5 m2 minimum par poule.

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poules_sol2 – intensif « au sol »

2:  Œuf de poule élevée au sol. Élevage intensif à l’intérieur de hangar mais, sans cage et, avec un maximum de 9 poules par  m2. Autrement dit, 0,12 m2 minimum par poule, contre 2,5 pour les poules élevées en plein air… La promiscuité est telle qu’elle modifie le comportement naturel des poules : agressivité, etc. et favorise le développement d’épidémie et donc l’emploi massif d’ antibiotiques !

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poules_cages3 – Horreur ! à boycotter absolument.

3 : Œuf de poule élevée en cage. Les poules sont enfermées dans de petites cages. On compte généralement, 18 poules par  m2. Autrement dit, 0,05 m2 par poule. Oui vous avez bien lu, 50 cm2 par poule!!! Elles ne peuvent quasiment pas bouger, elles ne peuvent même pas déployer leurs ailes !

Privilégiez les méthodes d’élevages respectueuses de la nature des poules.

Choisissez les œufs marqués des chiffres 0 ou 1.

N’achetez pas d’œufs portant le chiffre 3.

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Pour quelques centimes…

Les élevages dont les poules se voient offrir un temps de liberté quotidien exigent, nécessairement, une attention plus particulière à l’environnement et aux aléas inhérents à la vie au dehors.
Certains paramètres, tels la température, le temps, les parasites, les prédateurs, demandent des efforts et la vigilance constante de l’éleveur qui souhaite le meilleur pour son élevage. Cette attention est, bien sûr, bien plus demandeuse de temps et de travail que celle nécessaire à l’éleveur de poules en batterie, qui ne sortent jamais de leur cages  et reçoivent ainsi moins d’attentions.

Cet effort pour la qualité a un prix. Ce coût, ramené au prix d’un œuf, est modique, mais c’est surtout le prix qu’il est de notre devoir d’accepter, si nous souhaitons adopter une éthique pour les animaux en accord avec nos comportements d’achats responsables.

Ça ne veut rien dire…

>La mention « oeufs frais » sur la boîte :
Tous les œufs ne sont retirés de la vente qu’après 28 jours.

>La mention « oeufs de ferme » ne garantit rien : une ferme industrielle est « une ferme ». Idem pour le label « œufs de basse-cour »

Faites le tri !

Les œufs datés, œufs extra frais… ou les mentions fantaisistes telles que « œufs bien de chez nous » illustrées de paysages champêtres…

…n’illustrent en RIEN la vie des poules qui les ont pondus.

Au contraire, ces stratagèmes commerciaux visent à vous faire oublier la réalité de l’élevage en batterie.

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Vente en vrac, gare à l’arnaque !

On associe à tort vente en vrac et « petit élevage de plein air ».
Si vous achetez vos œufs au marché ou sur les étals des supermarchés, assurez-vous toujours de leur provenance.
Seule garantie, un geste simple : lire le code sur la coquille.

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Savez-vous ce qu’est une “usine à oeufs” ?

Un poulailler industriel, totalement automatisé, pour 30 à 50 000 poules sur plusieurs étages...
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Les poules élevées en cages passent les 13 mois de leur vie de pondeuse dans de petites cages nues et collectives, alignées sur plusieurs étages dans de vastes hangars sans fenêtre.

18 poules par m2,  soit une feuille A4 par poule !

Photo :

Un poulailler industriel, totalement automatisé,
pour 30 à 50 000 poules sur plusieurs étages..

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Si vous envisagez de créer votre poulailler, lisez ce document :

Introduction au bien-être des poules pondeuses/clic !

De l’éleveur au consommateur :
les enjeux, vus d’Alsace
Anne Vonesch

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Voir aussi :


Bientôt, en complément de ce dossier : un document sur le GAVAGE…

Déjà un autre article dans cette série :

POULETS (morts)sauce chinoise /Clic !


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